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Ce qu’ils en pensent – ce qu’ils en disent ! (en France)

Le court-récit « La dernière journée des frères Rouire » est une histoire agréable à lire, pleine d’anecdotes précises et un texte rappelant notre vie Occitane !

Babeth et Jean-Marie CLERC


Je viens de lire « Sous une lueur de chance et de Hasard »,

on y trouve la solitude, l’indifférence, la tolérance, L’empathie, la détresse, l’espoir, le partage… le titre si bien choisi dit tout… ton écriture nous amène…

De plus avec tes références je me retrouve en classe terminale de Philo …un régal !

Huguette CHOUNET


Les pieds bien ancrés dans son terroir il vous emmène dans le monde réel en vous transportant dans un paysage si vivant que vous pourriez le toucher uniquement en l’écoutant. C’est un peintre conteur qui vous raconte les couleurs de la vie et vous plonge dans un paysage si vrai qu’il vous remet, comme un médicament, de vos maux. C’est le Nadau de la poésie.

Jean-Paul AYMES (Président des Poètes sans frontière (Graulhet))


Court récit « French migrants »: Magnifique intuition – Tragique mais visionnaire – Un texte admirable !

Bravo !

Michel DUBLANCHE

 


Court récit « Le marionnettiste »: Excellent !

 

Quand tu auras les cheveux jaunes n’oublie pas qu’on est amis. Je suis expert ès courbettes et brosse à reluire. Une poignée de millions me suffira !
Bon ! En attendant restons dans notre petit trou; il y fait très bon entre amis : musique, chansons, poésies, un peu de vin, beaucoup d’amour ; « Diu vivent » (Dieu vivant) comme on dit chez moi !

 

PS : la Garrigou Tower à Labastide en Val sera du plus bel effet, une fois que tu auras rasé le village !

 

Erick LENGUIN (Auteur, Compositeur, Interprète de chansons à texte)

 


J’ai débuté l’après-midi de ce dimanche avec le court récit « Lundi 13 mai 1968 »; un régal José !

68 vu par un tout jeune garçon …moi je venais d’avoir 21 ans en avril et je faisais partie des étudiants et surtout des femmes qui voulaient avoir une vie différente que celle qu’on leur réservait….

Mais le plus important c’est… le macaroni gratiné… moi je ne suis jamais arrivée à le faire aussi bien que ma mère !

Magnifique, la petite Histoire vaut bien la grande….peut être même plus !

Aux Madame et Monsieur les instituteurs qui nous ont accompagnés, et aux hommes et femmes de bonne volonté qui font évoluer le monde,

A toi, à nous !

Huguette CHOUNET


Nous sommes venus cueillir les fleurs de votre poésie ; quel splendide bouquet !

Georges LAFFONT (extrait du livre d’Or)


De la terre à la lune avec vous !

Francis LALANNE (Auteur – Compositeur – Interprète)


Humour, ironie, amour, terroir, dès les premières rimes le décor est planté ; intense ! Un spectacle populaire où la poésie et la musique reflètent la culture occitane dont ils sont originaires !

Jack LANG (Ministre, Initiateur du Printemps des Poètes)


Un regard qui pétille,

un sourire qui s’illumine,

une main qui se tend…

tant d’émotions lors de cette soirée magique;

merci, merci, merci

Régine ROUANET (Présidente d’une Association de Poètes Carcassonnais).


José,

si tu es parmi nous ce soir, ce n’est pas par hasard. 50 ans auparavant, alors que tu n’étais qu’un enfant tu venais souvent chez tes grands-parents.

Quelques années plus tard tu es devenu un vrai passionné de poésie que l’on ne se lasse pas d’écouter, car les mots tu les connais.

Tu nous fais partager ta passion avec beaucoup d’émotion.

Aujourd’hui, nous sommes très heureux de te revoir et te disons merci d’avoir répondu « oui ».

Ce don a fait de toi un artiste, la preuve, tu fêtes ce soir tes 20 ans de récitals et tu vas nous faire passer un moment spécial ; quel beau cadeau tu nous fais… et là-haut, Jeanne et Baroni doivent être fiers de toi, tu sais…

Bravo !

Cercle Culturel de Labastide-En-Val


Tes mots sentent bon José, j’ai tout bu, tout reçu, tout absorbé… les fleurs qui éclosent de ta bouche, la garrigue, la chaude senteur de la terre, la trace du renard sur le sentier, la lumière de l’Alaric, les personnages du passé de l’Aude et puis de l’Ariège, ta musique m’a fait pleurer, ressentir un tendre sous-rire, ta musique m’a habitée… mes yeux sont emplis des images d’herbes odorantes, coquelicots d’adolescents cueillis par des filles embrassées… et les odeurs de cheminée, de cendres froides et bois mêlés, le fumet du généreux potage venu tout droit du potager… j’ai tout bu , j’ai tout absorbé… hier, j’ai rencontré un ange, un Être pur, modeste et tendre ; tu es La nature abondante et généreuse, tu es le monde, tu es bonté, tu es le ciel, tu es étoile, celle qui reste… pour l’éternité ; la Fleur Rose a beaucoup de chance de te sentir, te respirer, de te toucher, de t’embrasser ; tu es la poésie, la vraie, celle qu’on n’apprend pas dans les livres, celle qui n’est pas calculée, celle qui te vient… comme tu respires… José ..

Danielle ALARY (Auteur-Compositeur-Interprète)


Le cœur et le regard du poète nous ont accompagnés tout au long de la soirée, ses mots nous ont enchantés… on était au coin du feu à l’écouter poétiser. Ses poésies sentent le beau, la tendresse et l’amour du pays…  Merci José.

Elisabeth CASTORIANO (Artiste Peintre)


C’est enfant, en foulant les pas de son père au cœur du vignoble des Corbières, déjà ivre du vent de Cers et de liberté, que le poète José GARRIGOU commence son apprentissage de la poésie ; pas de rimes encore, il sait tout juste lire et écrire ! … mais il parle aux oiseaux, aux raisins et aux nuages, il connaît déjà l’odeur, la douceur, la beauté de sa terre et la bonté des siens, ceux-là mêmes qui mouillent la chemise aux caprices des saisons pour remplir l’écuelle de soupe ! Ce qu’il ne sait pas encore, et que son entourage ignore aussi profondément, c’est qu’une bonté céleste en a fait “le petit“ des Muses ! Dans la plus grande discrétion elles le forgent au marteau du ressenti, à l’enclume de l’analyse, au fer rouge de la souffrance aussi, elles le modèlent en un être de délicatesse, de sensibilité, de force, de volonté et de persévérance, puis déposent en son âme, sur un sommier de sarments et de feuilles de vignes aux couleurs automnales, le don du quatrain impeccable ! … dans la plus grande intelligence et la plus grande lucidité il en usera quelques années plus tard. Pour l’instant, dans la fraîche innocence de l’enfance, il sillonne les rangées de muscats et de carignans où il cueille et déguste jusqu’à plus soif les baies de l’existence, celles-là mêmes qui demain nourriront son inspiration ; tout vient à point à qui sait attendre, un poète immense est en route ; suivons-le! Les muses lui ouvrent la porte, enfin, et José GARRIGOU écrit sa “première“ poésie “de scène“ (telle qu’il la décrit au travers de son Appellation d’Origine Contrôlée “ANIMATO“), au début de l’année 1986. Il constitue un recueil de 23 textes à la fin de la même année, puis enchaîne ses ouvrages au rythme d’un par an. Il donne à ses 5 premiers recueils le nom de “Ballade au gré du vent de Cers“, aux 5 suivants le nom de “Le Marinas est rentré“, puis, intercalé, paraîtront “Les camarades de la frondaison nouvelle“ (essai philosophique). Viendront ensuite 5 nouveaux recueils intitulés “Tant que j’aurai du pain, du vin et de l’amour“ et à ce jour 2 recueils intitulés « Demain, cette étoile lointaine ». Mais c’est sur scène, à travers sa sensibilité, ses gestes et son élocution, que sa poésie contemporaine libère tous ses arômes ; c’est sur les planches qu’elle prend toute sa dimension ! … certes, s’il est aussi un poète à lire, il demeure surtout un poète à écouter et son complice Bruno VIVIEN (à l’accordéon) ajoute aux métaphores clamées (non chantées), une superbe particulièrement riche et adaptée aux exigences modernes ; tout respire l’harmonie et c’est tout simplement beau ! Que les poètes intemporels se rassurent, le texte n’est pas mort, la poésie a de l’avenir ; merci José !

Rose-Marie CASTERAS. (Vice-Présidente de l’association GOBELUNE-POESIE)


Bravo José pour cette soirée flamboyante ! Tu es un feu-follet qui embrasse la nature et le temps ! ta simplicité, ta gentillesse, cette sensibilité attendrissante font de ton spectacle un vrai bonheur ! MERCI

Danielle ALARY (Auteur-Compositeur-Interprète)


J’ai apprécié les textes pleins d’humour, de fantaisie et puis… de l’amour des gens… de ta terre que tu aimes inconditionnellement… Merci José

Elisabeth CASTORIANO (Artiste Peintre)


Nous nous promenons à travers champs, plaines et coteaux, vignes et ruisseaux. D’une main l’on touche le  » Château de Miramont », de l’autre le vignoble des Corbières. Il aime son pays d’Occitanie, ses villages: Fontiès et Labastide et l’on a les yeux pleins de buée. Le temps passe trop vite, joue Bruno, joue José, votre spectacle a de la mémoire!

« L’INDEPENDANT »


Ils vous entraînent dans une longue promenade aux senteurs d’une garrigue en pleine effervescence; leur concert est une invitation au voyage, à la recherche de ses racines authentiques!

Marcelle SEGUI (Société des Poètes et Artistes de France)


Venu d’un pays où la rocaille dispute l’espace à la vigne, il est là à nous régaler, de sa bouche d’émail, d’aventures égarées entre pieuses sacristies et autres pérégrinations glorieuses. A chaque mouvement de mâchoires, des histoires prolifiques s’évadent de ses causeuses labiales, au rythme métronomique de la divine prosodie des sons, d’une sélection de mots si bien choisie. Le soufflet thoracique de la respiration propulse une émulsion d’images vagabondes, qui abondent dans les récits infinis portés en oriflamme jusqu’au pavillon de l’audition. Perdu dans la poussière des siècles, sa tranquille apparence éparpille d’anciens souvenirs dans les écrits retranscrits au temps présent, que le carbone quatorze datera assurément du moyen-âge. Cet individu n’est qu’une vieille radicelle d’une espèce mutante bouleversant de sa faconde l’art d’ancêtres bavards, transhumants de castels en manoirs, en amusements de rois et courtisants. L’alchimie de ses phrases pousse à l’écoute, pénètre l’être de ses incantations occultes, neutralisant le jugement, tout en stimulant une envie incontrôlée d’applaudissements. Ce manipulateur aux cordes musicales ailées, nous charme de sa diction généreuse et nous soumet à la beauté de sons fusionnés à une recherche littéraire qu’on ne saurait faire taire. Ne vous y méprenez plus, mes chers amis, ce monobloc de puissance narrative à l’accent chantant n’est point de notre temps. Méfiez-vous, braves gens! C’est un vieux troubadour ce Garrigou!

Michel ESTERMANN (Poète)


Vous avez découvert le pouvoir des mots; vos idées sont celles d’un cœur généreux qui souffre de l’imperfection de l’homme et des lois de la nature. Je suis fière de vous connaître.

Claire DE LA SOUJEOLE (Poétesse)


Un spectacle ô combien particulier et peu commun ! Le tandem José/ Bruno s’est surpassé pour nous apporter un moment fort appréciable de rêve et d’évasion. Des poèmes forts, évoquant l’amitié vraie, sincère et durable, résistante comme un roc, défiant le temps et les tentations. Un parfum permanent de poésie, amené par le vent de Cers depuis la terre de Gobelune,  a enivré un public tout à fait conquis à la qualité et à la puissance des rimes à propos desquelles Voltaire disait: « Nous ne pourrons jamais secouer le joug de la rime; elle est essentielle à la poésie française! »… essentielle aussi pour nous conduire vers la recherche de nos racines, au travers de celles chantées par nos « Pelharots de Gobe-Lune »: Bruno et José!

« L’NDEPENDANT »


Le poète n’a pas la tête dans les nuages, ni le cœur dans les petites fleurs. Il a les pieds bien ancrés (encrés) dans la vie et ce monde qui est le notre le concerne. Il le loue ou le vomit, c’est selon, mais surtout il lui donne sens, il lui donne vie, il exige de lui plus de beauté, plus d’amour, de justice et de hauteur. Et José est de ceux-là dont la plume nous enchante et nous réveille. Tu démontres, s’il en était besoin, que la poésie c’est comme disait l’autre « de la musique avant toutes choses » ! Je veux dire que l’aspect vocal de ta poésie fait partie intégrante du texte. D’ailleurs, cela s’entend déjà même à la lecture silencieuse… et l’on n’est pas embrassé des dentelles poussiéreuses de la poésie prétendument classique !

Erick ROUDEL (Auteur-Compositeur-Interprète)


Ta prose est tellement riche Que je la savoure avec cœur; De ton panier, tendre bourriche, Les phrases sortent avec bonheur. Chaque mot y est à sa place exprimant bien l’acte de foi; C’est un peu le palais des Glaces, Lieu de promenade du Roi ! On s’y croirait, c’est merveilleux, Tu parles vrai, mais y étais-tu ? T’aurais-je vu, pas reconnu ? Je suis déçu et malheureux. Je reconnais pourtant ta plume qui donne un sens à chaque mot; Rien chez toi qui ne se consume sans s’élever vers le Très Haut !

Claude SUBREVILLE (Ami passionné et passionnant)


S’il existe une espèce non protégée en voie de disparition, c’est bien celle des poètes. J’ai rencontré un exemplaire « d’occitanum poetam », oiseau particulièrement menacé car il ne présente aucun attrait pour les collectionneurs des salons parisiens qui lui préfèrent de loin « l’intellum poetam », aussi talentueux, mais à la musicalité nettement inférieure. « L’occitanum poetam » que j’ai rencontré migre quelques jours par semaine dans les montagnes audoises d’Alaric et rentre au gagnage sur Toulouse le reste du temps. Il se nomme José GARRIGOU…/… C’est un personnage dont les racines puisent dans la terre, les légendes et les bêtes sauvages la saveur de ses textes parsemés de références aux becfigues, grives, garennes et sangliers. On y hume le muscat, le romarin, la rouquette et le poivron…/… Héritier des griots et troubadours, slameur serait plus vendeur, il se revendique homme de scène. Sa poésie prend de l’ampleur quand il la dit accompagnée de musiciens, réveillant la foule de ses mains. Son accent sculpte du relief aux pieds et aux rimes, il rend à chaque syllabe le droit d’exister dans son intégralité…/… L’homme des garrigues mène ses spectacles comme un débat poétique autant que politique. Il veut extraire la poésie des livres où elle dort. Il la rend populaire, accessible, comme un tour de chant…/… En chemin vers sa maison familiale la grive musicienne entame à propos, en pleine conversation les vers de « Je lisais » de Victor HUGO. Jamais je ne l’ai entendu avec cette mélodie et ces accents toniques. Dans la bouche de l’homme des garrigues, Victor HUGO devient poète occitan. Le sens des mots apparaît, universel. Je ne sais plus dans les contours de cette journée, lesquels des textes sont de GARRIGOU ou de HUGO. Il reste le talent et le plaisir…/… (extrait du coup de cœur « Plaisir de la chasse » juillet 2013)

Cécile IORDANOFF. (Journaliste)


Merci pour cette gigantesque et magnifique poésie (Amalgame); toujours des mots bien à toi et à personne d’autre; toujours ces images poétiques, bucoliques, ces traits d’humour.. une originalité qui caractérise si bien tes créations ! bravo!

Danielle ALARY (Auteur-Compositeur-Interprète)


Un souffle nouveau qui nous porte jusqu’à l’émerveillement !

Anne-Marie VERGNES (Société des Poètes Français)


Un récital hors du commun ; un moment de rêve, d’évasion ; tout y est !

“L’INDEPENDANT“


Ici, pas d’utopie, la beauté des personnages, de la nature, ne fait pas oublier les problèmes extérieurs, mais les artistes prennent le public par la main là où, comme disait Baudelaire : « Les parfums, les couleurs et les sons se répondent » ; un régal !

“La DEPECHE DU MIDI“


Une invitation à vivre une poésie piquante et suave, grave et pétillante !

Jean-Paul AYMES (Poètes sans frontière de Graulhet)


Rares sont les jeunes talents qui savent parler vrai ; à travers leurs valeurs humaines ils suscitent en nous la véritable émotion, celle du cœur !

Mario RIGAUD (Amitiés littéraires Val-De-Loire)


Un mélange de charme et de convictions lorsque notre poète porte le terroir à bout de voix ; et la musique qui répond !

René-Paul ENTREMONT (Académie Littéraire des Pyrénées)


Une poésie nouvelle clamée haut et fort ; des artistes qui ont du corps, du cœur et de l’esprit !

René COLL (Musicien – Chef d’orchestre)


Ce poète musicien donne à cette forme littéraire une sorte de vie intense. Un peu à la façon des chanteurs/poètes intemporels, entre FERRE, BREL ou BRASSENS, José, Patrice et Bruno nous administrent leur “médicament pour l’âme“ ; merci !

“La DEPECHE DU MIDI“


 

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